Mais que font-ils donc de toute cette farine ?

Alors il faut nous donner la recette !

Avec plaisir.
La recette originale ci-dessous, en sachant que pour ma part je ne mets pas la dose de sucre prévue mais la remplace par du sucre de fleurs de coco (15 g) et du stévia (5 g), que j'utilise du lait d'amande ou de brebis, que la farine est pour moitié maïs et petit épeautre, du beurre clarifié, qu'il m'arrive de remplacer les pruneaux par des figues ou des dattes, mais cela reste des sablés dans tous les cas qui semblent disparaître de la boîte (quand j'ai le temps de les y mettre après refroidissement) encore plus vite que dans un sablier.

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Il faut des pruneaux séchés.
C'est le moment d'en faire, avec le soleil qu'on a ces jours-ci !

Encore faut-il qu'ils soient mûrs pour les faire sécher et d'ici là, le soleil...

C'est quoi, un pruneau pas séché ?

C'est un pruneau moelleux.

Ou une prune, parce que les pruneaux moelleux sont d'abord séchés puis réhydraté (38 % de taux d'humidité).

Voilà, les pruneaux, c'est comme le VE. Il faut être ingénieur !

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Ah oui, effectivement, un pruneau pas séché, c'est une prune, puisqu'un pruneau est une prune séchée. Ça fait donc une prune-séchée-pas-séchée. Ca s'annule donc.
Donc, maintenant, deuxième question : c’est quoi, un pruneau séché ?

C'est une prune hyper-séchée.
Ou un pruneau oublié depuis six mois dans un placard...

De toutes façons, moi je prends ce que j'ai sous la main au moment de réaliser la recette. Cette fois-ci, c'étaient des pruneaux moelleux donc un peu plus compliqué pour les hacher puisque très collant mais seul le résultat compte.
La prochaine fois, ce seront probablement des figues bien sèches qui normalement servent à la fabrication de kéfir.