Aspiration des particules des plaquettes de frein

On en a déjà parlé mais la fonction recherche est tellement performante ...

Ce matin ils en ont reparlé à télé matin, les particules sont très dangereuses et cancérigènes, il est temps de trouver une solution ...
Moi, je l'ai la solution : roulez en véhicule électrique  ! (ah ben non, ça ils n'en ont pas parlé).

Le système

Moi, je l'ai la solution : roulez en véhicule électrique ! (ah ben non, ça ils n'en ont pas parlé).

Bah si, dans le chapeau ils disent que les voitures électriques sont aussi concernées, vu qu'elles ont aussi des freins...

Pire, Que Choisir, dans un article d'il y a quelques mois, disait que les VE n'étaient pas du tout vertueux niveau émission de particules fines.
Car les VE sont plus lourds qu'un équivalent VT et abrasent plus leurs pneus et leurs plaquettes de frein.

Autant j'adore Que Choisir en temps normal, autant là c'est une belle grosse co..rie.
C'est généraliser sans tenir compte des VE ayant une régénération et sur leur mode de conduite généralement plus doux    .
Plus globalement, je trouve -c'est une opinion personnelle mais je suis autorisé à la donner car je suis abonné- qu'ils font en général la part belle aux diesels en oubliant leurs "à côté" calamiteux.

Bon sujet que cette récupération des particules de plaquettes.
Surtout que ça semble techniquement très réalisable.

Et la colle à fourmis dans le passage de roue, ça marcherait ?

Je reste un peu sceptique sur l'entraînement:
leur principe de roulette entraînée par le disque :
- soit c'est en contact permanent et on gaspille de l’énergie et il doit y avoir un système de rattrapage de l’usure.
- soit l'aspirateur bouge avec les plaquettes et alors, la roulette va patiner à chaque freinage quand elle va arriver en contact avec le disque à pleine vitesse.
De plus on voit le proto sur une Lamborghini et sur une sportive. Le disque se prend des montées en température à près de 600 °C et une roulette qui se prend du patinage sur une surface à pleine vitesse à 600° il faut du sacré matos !