Afghanistan

Origami a écrit:Cessez de chercher des prétextes, et voyez la vraie raison : vous ne VOULEZ pas. Survivre.

En attendant, tu ne m'as pas répondu, encore une fois.

Et tu ne me répondras pas, car tu n'as pas d'argument.

Hormis étaler tes phrases et rabaisser les autres, tu ne sais rien faire.

Comme d'habitude avec ce genre de personnage.

Et pour éviter l'immigration, il n'y a pas d'autre solution que de rendre les pays d'origine viables...

Donc stabilisation politique et militaire, éducation, aide économique, aide face aux changements climatiques...

Faire en sorte que les jeunes restent dans leurs pays, en particulier les diplômés, pour aider leurs pays à évoluer.

Pour ceux qui se posent les questions de savoir ce que nous faisons en Afrique, c'est cela.

Si le Mali et autres pays autour tombe sous le joug des islamistes, nous aurons une vague d'immigration massive, bien plus importante qu'en provenance de l'Afghanistan.

Et pour en terminer avec toi et les personnes de ton obédience, j'ai fréquenté activement les personnes de votre espèce dans ma jeunesse.

J'ai cessé le jour où, attablé dans un bar connu de Grenoble pour en être un repère repaire (!), j'ai vu une horde partir en courant, et tabasser un vieil arabe qui ne faisait que passer.

Cet acte de courage ultime et certainement justifié par un besoin de survie m'a convaincu sur le niveau des personnes que je fréquentais, au final plus par curiosité que par conviction.


Roooohhhh, 1 faute en 3 post, ça va

plusieurs centaines de rapatriés déjà, 5 sont suivis, il y en aura sûrement d'autres, mais tout ce que ça t'inspire c'est "nos dirigeants, traitres ou seulement incompétents ?"

ça laisse songeur sur ce que tu préconiserai ou ferais si tu l'étais dirigeant.
On t'imagine sans peine les trahir et les laisser se faire égorger façon Harkis après avoir soutenu ton administration et tes troupes pendant 20 ans. Tu as finalement peut être raison de te réclamer d'un parti "gaulliste".

Les gaullistes étaient les partisans de De Gaulle, mais il n'est plus , donc ses partisans ne peuvent plus être.

De plus ce n'était pas un courant philosophique, ça ne pouvait que difficilement perdurer, vu que par définition les politiques sont forcément vouées à évoluer au gré des besoins.s des peuples.

Ce qui est inquiétant, c'est de penser ce qu'on pense, quand on lit ce qu'on lit de ce qui est écrit par ceux qui le pensent.

Et réciproquement !

Parce qu'on le veut bien

Sierra38 a écrit:Une île/continent loin de tout... et leurs méthodes sont humainement discutables...

L'Australie est aussi convoitée que tous les autres pays ... "riches".
Parce que pour flatter votre égo, vous les appelez "réfugié", mais ce ne sont que des migrants économiques.
Donc il faut leur faire comprendre et faire savoir qu'ils n'obtiendrons rien, zéro, nada, null, pas un kopeck, aucune régularisation.
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Une île-continent aux 3/4 vides, appropriée voire volée par des colons anglais, alimentée en population par des bagnards qui ont ensuite quasi stérilisé le peu de population locale préexistante, jusqu'à il y a encore quelques dizaines d'années, et qui placarde maintenant ça aux pauvres hères qui pourraient avoir des volontés de venir y vivre pour fuir misère et/ou persécution.

parce que pour flatter votre égo, vous les appelez "réfugié", mais ce ne sont que des migrants économiques.

Tellement de sous-entendus émétiques en une seule phrase sur l'indifférence voir le mépris de ceux qui fuient la misère, le fait que ceux qui font preuve d'altruisme ne cherchent qu'à "flatter leur égo", qui en dit tellement long sur son auteur.

il y a réellement deux humanités.

Personnellement, j'en ai vu les 2 aspects de très près.

Heureusement, car il y en a un qui ne donne pas envie de vivre.

Ici, projections démographiques de P. Lemoine (PhD, Cornell), qui ruinent l’arrogance satisfaite des contempteurs (qui n’ont jamais aussi bien porté leur nom) de la « théorie du grand remplacement », qui n’a définitivement rien d’une théorie mais est d’abord le produit d’un fait mathématique indubitable, avant de receler une réalité socio-politique et culturelle incalculable, car en l’espèce, irréversible :

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Cela ne douchera certainement pas les espoirs des mêmes, bien au contraire : ils y aspirent, par ethnomasochisme.

Ici encore :

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« Toute vérité franchit trois étapes : d’abord elle est ridiculisée. Puis, elle subit une forte opposition. Enfin, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence » - Schopenhauer.

Avec la restriction conjoncturelle, nous sommes contraints de façonner précisément les synergies emblématiques, même si nous devons en tirer des conséquences.

Il vous est (encore) loisible de faire de l’humour l’esprit léger. D’une certaine manière j’envie votre insouciance. De l'autre je la conchie, puisque responsable collectivement de la situation actuelle, cataclysmique.

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Cependant, où que nous mène la sinistrose présente, il ne faut pas négliger de se préoccuper de la globalité des issues possibles.

Je viens de lire la dernière ébauche du dernier rapport du GIEC. Quand on voit les prévisions de température et de pluie en Afrique, Asie mineure, du sud-est et Amérique du sud... Sans parler de "grand remplacement", on peut d'ores et déjà anticiper que la pulpe ne restera pas au fond (pour les jeunes, c'est une analogie avec une célèbre boisson, qu'il faut fortement agiter. )

Le partisan de la race suprême ne me répond toujours pas

Origami a écrit:« théorie du grand remplacement »

Le problème est que dans le sud de la France tu remplaces des pas très Français par des qui étaient pas très Français à une autre époque parce que, si tu nous as bien regardés, pour la plupart on bronze super bien au soleil !!
Comme nos immigrés préférés sont déjà montés jusqu'à Poitier et ont pris le temps de s'amuser au passage, il y a plein de petits conquérants qui sont restés sur place.
Objectivement, on a plus le sentiment ici que le grand remplacement c'est au mois d'aout parce que ceux là sont tout rouge à la terrasse des bistrots !

En fait le vrai problème est un problème culturel ; quand on voit des gens manger à 18h30 le soir alors qu'on en est encore à la citronnade et qu'on n'a pas encore commencé l'apéro ça ne peut pas le faire, on n'est pas du même monde.

Évidemment que le problème est culturel, d’abord et avant tout. Il l’a toujours été en réalité, exceptés par ceux qui ont cherché sciemment à criminaliser et le débat et leurs contradicteurs.

Sauf qu’il y a un non dit, un implicite qui n’est jamais formulé : la culture n’est pas hors sol, elle est portée par des peuples, des ethnies particulières, et réciproquement, sur la longue durée historique.

Donc on peut néanmoins recouper de manière générale ces vecteurs, n’en déplaise aux vierges effarouchées qui s’émeuvent que l’on rappela simplement des évidences.

De ce point de vue croire que l’on pourra - alors même qu’on ne le peut plus, ou qu’on ne le veut plus depuis quarante ans - assimiler des masses de plus en plus nombreuses au corps social français (par ailleurs en voie de décomposition) et qui lui sont extérieures, est une vue de l’esprit révoltante. Je le répète la démographie commande.

Pendant que vous buvez votre apéro, d’autres qui conservent la farouche volonté de se survivre, et qui ont de surcroît la démographie pour eux, travaillent sur la longue durée pour que vous ne puissiez plus en avoir l’opportunité à l’avenir. Non parce qu’ils seraient intrinsèquement malveillants ou machiavéliques, bien au contraire : de leur point de vue ils sont bien intentionnés, cela correspondant à leur référentiel civilisationnel fondé sur une morale universelle (nous y revenons), qui eux aussi ne connaissent pas de frontières.

Le sans-frontièrisme (par définition sans limites) promu par un certain nombre, également sur ce forum, fait en réalité le lit des ennemis ontologiques de l’Occident. Un Occident qui, pour toutes ces raisons, semble passablement moribond. C’est un suicide planifié, sans doute sans précédent dans l’Histoire.

Qu'est-ce que c'est le " corps social français" ?

Français ou catholique ?

Blanc, blond, aux yeux bleus

Notre "ami", qui au passage ne me répond pas, gêné aux entournures sans doute, oublie juste une chose, liée à l'évolution que nous avons connu en 1 siècle et 1/2, la mondialisation.
Là où tu mettais de plusieurs mois à quelques jours pour te déplacer, tu le fais désormais en quelques heures.
Les frontières naturelles sont effacées.

Le développement du commerce en a été la base, mais cela ne se limite plus à cela. Des personnes choisissent de vivre dans un autre pays que celui de leur naissance (ma fille est partie au Québec), d'autres y sont obligés.
Ces derniers, auparavant, auraient été condamnés à mort, ce qui arrangeait bien certains. Désormais, l'information instantanée amène des réactions aussi instantanées.

Laisser un peuple se faire massacrer sans réagir devient difficile, même si on y arrive très bien en Chine et en Russie, sans doute le rêve ultime de nos "amis".

Après, chacun se positionne en fonction des ses convictions et son vécu.
Ma position est claire. La leur est plus floue dès qu'on pose les questions essentielles.
De par leur éducation et celle qu'ils ont / vont transmis/transmettre, ils empêcheront sans doute leurs enfants de se mettre en couple avec une personne d'origine différente de la leur. Le tout pour préserver leur avenir, sans doute.

Préserver non pas leur avenir, mais surtout et avant tout leurs richesses matérielles et si possible l'augmenter,  vu que dans l'effondrement socio-économique et culturel, des biens seront disponibles  autant se les approprier au passage.
Le déclencheur sera la ressource en eau potable et la montée du niveau des mers, autant dire le prochain déluge.

Sierra38,

De Gaulle, qui y connaissait quelque chose, rappelait dans ses mémoires que l’une des qualités primordiales d’un dirigeant (entendons-nous : un homme d’État) est de savoir conserver l’oeil sec, en particulier en pareille circonstance. Vu vos complaintes larmoyantes incessantes, incapables d’en voir les effets politiques de long terme, submergé par l’émotion que vous êtes, j’en conclu que vous n’avez certainement pas cette envergure. Ce n’est pas grave en soi (tout le monde ne peut pas être de ce calibre), ce qui l’est en revanche, c’est votre bulletin de vote.

Bref, on massacre et on s'en fout.

Pas sûr que tu aies compris ce qu'à écrit De Gaulle.

Mais bon, une phrase justifie tout ce que tu penses (pas ce que tu fais, hein, on est d'accord), c'est l'essentiel.

Pour le reste, le grand Charles, je le respecte pour l'ensemble, pas pour certains détails, comme aurait dit ton mentor.

Mais vous n’êtes pas responsable du sort de la planète entière, vous n’êtes pas Dieu !

Nous n’avons pas vocation à se voir déverser chez nous tous les futures proscrits du monde et les futures victimes des campagnes électorales ou militaires. Ou alors il faudra finir par accepter, non quelques centaines de demandeurs d’asiles, mais des centaines de millions. La question : y êtes-vous prêt ?

Dieu ? Justement, j'échangeais quelques mots avec lui l'autre jour.
Il ne se sent pas du tout responsable du sort de la planète !

Tous les péchés du monde, il les a pris sur son dos, il y a deux mille ans.
Il ne va pas recommencer maintenant, non, non.

De Gaulle, qui y connaissait quelque chose...

Visiblement pas très beaucoup, vu les fiascos politiques qui s'enchaînent en croyant l'égaler.