Entre deux maux ... CO2 ou pollution de l'air

Est-il plus urgent de réduire le CO2 et limiter (ou arrêter) le réchauffement climatique ou limiter la pollution atmosphérique pour préserver nos petits poumons tout roses ( et nos bâtiments, et les pluies acides ... ) ?

Entendu ce matin : un feu de cheminée mal maîtrisé, vieille cheminée ou vieil insert dégage plus de particules ( et Nox je crois ) que une année de roulage en thermique !

Je ne sais pas si les chiffres sont bons mais ça fait réfléchir.

Comme les bonus malus qui ont favorisé le diesel moins émetteur de CO2 mais rejetant plus de particules ( en vrai pas sur banc d'essai )

Une solution que la Terre devienne la planète bleue :

"Entendu ce matin : un feu de cheminée mal maîtrisé, vieille cheminée ou vieil insert dégage plus de particules ( et Nox je crois ) que une année de roulage en thermique !"

En matière de dépollution, les écarts sont rapidement énormes : un FAP ça filtre au moins 90% des PF. Donc si tu inverses : une seule voiture que tu "défappes" annule les efforts d'une centaine de caisses fappées

philouze33 a écrit:un FAP ça filtre au moins 90% des PF. Donc si tu inverses : une seule voiture que tu "défappes" annule les efforts d'une centaine de caisses fappées

Une dizaine (ou alors le FAP a une efficacité de 99%)

Pour l'isolation des logements, si je projette ce qui est dit dans les rapports RTE, on pourrait atteindre 44 kWh et c'est déjà un peu extrêmiste, je pense. Ce n'est pas mal, mais ça ne représente jamais que 10% de la consommation electrique totale.

Le chauffage non electrique y gagnera aussi, mais cela ne bénéficiera pas directement au VE.

Passant_Mbr a écrit:Pour l'isolation des logements, si je projette ce qui est dit dans les rapports RTE, on pourrait atteindre 44 kWh et c'est déjà un peu extrêmiste, je pense. Ce n'est pas mal, mais ça ne représente jamais que 10% de la consommation electrique totale.

Le chauffage non electrique y gagnera aussi, mais cela ne bénéficiera pas directement au VE.

Cela ne bénéficiera pas au VE. Mais, cela peut bénéficier à notre qualité de vie. Surtout si on remplace le peu de besoin de chauffage nécessaire soit par des poêles à bois de la dernière génération ou par des radiateurs électriques de bonne facture. Bref, il faut décider qu'elle est la vraie cible et cesser de parler "électricité" pour parler "énergie". On est bien sur une transition énergétique. Si je ne me trompe pas

Mon sujet est plutôt sur le caractère d'urgence, particules qui touchent plutôt l'homme ( mais qui est une denrée renouvelable rapidement ), ou effet de serre ( pour le climat et la planète non renouvelable et avec une forte inertie ) ?

@ Scarred et Léonard, je m'excuse mais j'ai effacé vos échanges. Il y a suffisamment de sujets ouverts dans lesquelles vous défendez vos idées.

Bigfoot a écrit:Mon sujet est plutôt sur le caractère d'urgence, particules qui touchent plutôt l'homme ( mais qui est une denrée renouvelable rapidement ), ou effet de serre ( pour le climat et la planète non renouvelable et avec une forte inertie ) ?

Pour moi la réponse est à 41 millions de km dans la direction du soleil (enfin les jours de "conjonction inférieure").

C'est bien de vouloir préserver les poumons de la génération actuelle, mais si c'est pour passer la suivante au four. ..
Si on peut éviter les deux, tant mieux, mais sinon le danger le plus grand a priorité.

Enfin quand je dis la génération suivante je suis peut être optimiste, si on atteint le point d'emballement ça pourrait être rapide.

Au fait, sachant que les moteurs essence récents les plus performants produisent autant sinon plus de nanoparticules, probablement aussi des oxydes d'azote puisqu'ils utilisent des taux de compression plus élevés, emettent plus de C02 au km que le moteur à fuel, qu'est-ce qu'il leur manque encore pour être aussi mauvais que le Diesel ?