Covid, connaissances scientifiques et conséquences politiques

Dernières études scientifiques publiées :

- La charge virale étant identique tant pour les double vaccinés que pour les non vaccinés, le potentiel de transmission du virus l’est également, indépendamment donc du statut vaccinal :

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Cela entraîne plusieurs conséquences logiques : 1/ Il est impossible d’éradiquer le virus qui va devenir nécessairement endémique, car ni l’infection naturelle ni la vaccination ne sont en mesure de conférer une immunité stérilisante et définitive 2/ L’argument de la vaccination comme élément de protection collective, et non plus seulement individuelle, est désormais caduque 3/ Partant, le principe même du « passe sanitaire », et plus encore du « passe vaccinal », devient sans objet - du strict point de vue de la santé publique. Mais est-ce que les mesures follement coercitives prises par nos dirigeants et visant à le mettre en oeuvre l’ont été réellement dans cette optique, là est la question.

- Il est maintenant parfaitement documenté que l’immunité conférée par l’infection naturelle est supérieure en durée et qualité à celle offerte par la vaccination (c’était fort probable et prévisible compte tenu des connaissances historiques en matière virale, je l’avais écrit avant l’été…) :

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Au moins 18 mois pour l’infection naturelle contre moins de 6 s’agissant de la vaccination, obligeant ainsi à une troisième dose sous peine de radiation du droit à une vie sociale :

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Dès lors, outre ce qui a été démontré précédemment concernant le « passe sanitaire », la limitation actuelle de sa validité à 6 mois pour les individus ayant rencontré le virus (estimés depuis le début de l’épidémie à au moins 15 millions en France), qui soit ont fait la maladie soit ont été asymptomatiques (et qui dans ce dernier cas seraient possiblement renseignés par un test de séro-prévalence), ne trouve plus aucune justification médicale, si tant est qu’elle n’en ait eu jamais, mais relève en revanche du pur arbitraire politique.

- Il est démontré que les moins de 20 ans ont un risque plus important de mourir de la grippe saisonnière que du Covid :

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Autrement dit leur risque est quasi nul, excepté pour une frange infime de cette population (en général déjà gravement poly-pathologiques). À l’inverse le risque de développer des effets secondaires nombreux et potentiellement graves pour une partie non négligeable d’entre elle, suite à la vaccination, indique que sa balance bénéfice-risque est clairement négative. Preuve en est l’interdiction du vaccin Moderna pour les moins de 30 ans :

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Et cela, sans compter les études bidonnées par Big Pharma :

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La logique élémentaire voudrait qu’on laissa filer le virus parmi cette population, afin d’atteindre au plus tôt l’immunité grégaire.

- L’argument du Covid-long pour critiquer cette dernière stratégie est doublement contredit dans la mesure où ce Covid-long semble d’abord et avant tout résulter plus de troubles psycho-pathologiques que d’une réelle affection organique :

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Le cruel paradoxe étant que ces troubles anxieux et dépressifs de longue durée sont associés très certainement aux mesures non-pharmaceutiques qui ont été imposées avec force propagande catastrophiste : confinements successifs, fermetures des écoles et lieux recevant du public, port du masque généralisé en particulier pour les écoliers, déferlantes médiatiques délétères, que du virus lui-même !