Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
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Bigfoot
Mario
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Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
Le constructeur veut hisser la profitabilité de ses véhicules électriques au niveau de la moyenne du groupe en 2022.
« Nous avons commencé à investir dans le véhicule électrique il y a dix ans : les lourds investissements et les coûts de développement ont alors pesé sur les marges. Mais maintenant, l'électrique devient un contributeur significatif à nos performances, alors que d'autres constructeurs entament tout juste leur voyage ». En présentant son plan à moyen terme le 6 octobre Carlos Ghosn, le PDG de Renault a réfuté toute crainte face aux milliards d'investissements annoncés par ses concurrents. « En 2022, la profitabilité du véhicule électrique sera au niveau moyen de celle du groupe », a-t-il poursuivi. Alors que d'autres producteurs craignent que l'électrique pèse sur leurs marges , Renault table sur une marge opérationnelle de 7 % à cette échéance, avec un minimum de 5 % sur toute la durée du plan.
Rentable sur coûts variables
Ayant investi 4,4 milliards d'euros dans le développement de ses voitures électriques, Renault affirme que leur production est aujourd'hui rentable « sur coûts variables », c'est-à-dire sans compter l'amortissement de l'investissement initial. « Il y a toutefois encore beaucoup de travail pour être rentable « en coûts complets » et arriver à la moyenne du groupe », reconnaît Gilles Normand, patron du véhicule électrique.
Les constructeurs s'inquiètent pour leurs marges
Carlos Ghosn vise un taux de 5 % de ses ventes dans l'électrique en 2022, un chiffre « sans doute conservateur - et certainement faux », a-t-il insisté. Cela représente 250.000 véhicules par an, à comparer aux 26.500 vendus l'an dernier et aux 40.000 prévus pour 2017. « A compter de 50.000 unités, on commence à pouvoir compter sur des économies d'échelle », relève Gilles Normand. Renault aura en 2022 huit véhicules électriques-contre quatre aujourd'hui (Zoe, Twingy, Fluence ZE et Kangoo).
Plateforme commune
Renault pourra aussi s'appuyer sur la plateforme commune qu'il développe avec Nissan « depuis au moins un an et demi », indique Gilles Normand. Alors que les deux partenaires de l'Alliance sont partis en ordre dispersé sur la Zoe et la Leaf, ils ont l'intention de ne pas réitérer l'erreur pour la future génération, à l'horizon 2020. 80 % des futurs véhicules électriques de l'Alliance (qui comprend aussi Mitsubishi depuis fin 2016) seront ainsi produits sur cette plateforme commune, qui pourra varier en longueur, en largeur et en hauteur, de sorte à s'adapter à tous les segments. Ils ont aussi annoncé cet été le développement commun d'une petite citadine en Chine , avec leur partenaire Dongfeng, dès 2019, sur laquelle ils comptent beaucoup compte tenu des volumes attendus sur le marché chinois. « Cette mutualisation permettra de gagner 40 % sur le ticket d'entrée en R & D et 30 % sur le coût de production », poursuit Gilles Normand.
Sur les batteries au départ on n'avait pas le choix. Mais aujourd'hui il y a beaucoup d'acteurs, il est donc possible de faire jouer la concurrence
Les trois partenaires utiliseront également à l'avenir des moteurs et des batteries communes. La décision de Nissan, cet été, de céder son activité historique de production de batteries correspond à un choix stratégique fort. « Nous sommes très pragmatiques sur la question du « make or buy » », explique Gilles Normand. « Sur les batteries, au départ on n'avait pas le choix. Mais aujourd'hui il y a beaucoup d'acteurs, il est donc possible de faire jouer la concurrence : on estime pouvoir faire baisser le coût des cellules de 30 % d'ici à 2022 ». Et ce, tout en augmentant l'autonomie des batteries à 600 kilomètres affichés (400-450 réels).
Nouveau moteur électrique
Renault compte toutefois garder la main sur l'assemblage des cellules et le « battery management system », l'électronique qui contrôle la charge et la décharge d'une batterie. « Nous espérons contrôler 30 % de la valeur de la batterie, contre 20 % aujourd'hui », dit Gilles Normand. Un élément important, alors que la batterie représente entre 20 et 30 % du coût des véhicules électriques. De même le groupe va développer un nouveau moteur électrique, qui devra lui permettre de gagner 20 % sur les coûts correspondants.
De quoi rendre les véhicules de plus en plus attractifs pour les consommateurs. Si aujourd'hui ils ont encore largement besoin de subventions pour rivaliser avec les moteurs thermiques en termes de prix, Renault espère que les courbes se croiseront aux alentours de 2020.
Anne Feitz
https://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/030694049143-le-plan-de-renault-pour-doper-sa-rentabilite-dans-lelectrique-2122876.php
« Nous avons commencé à investir dans le véhicule électrique il y a dix ans : les lourds investissements et les coûts de développement ont alors pesé sur les marges. Mais maintenant, l'électrique devient un contributeur significatif à nos performances, alors que d'autres constructeurs entament tout juste leur voyage ». En présentant son plan à moyen terme le 6 octobre Carlos Ghosn, le PDG de Renault a réfuté toute crainte face aux milliards d'investissements annoncés par ses concurrents. « En 2022, la profitabilité du véhicule électrique sera au niveau moyen de celle du groupe », a-t-il poursuivi. Alors que d'autres producteurs craignent que l'électrique pèse sur leurs marges , Renault table sur une marge opérationnelle de 7 % à cette échéance, avec un minimum de 5 % sur toute la durée du plan.
Rentable sur coûts variables
Ayant investi 4,4 milliards d'euros dans le développement de ses voitures électriques, Renault affirme que leur production est aujourd'hui rentable « sur coûts variables », c'est-à-dire sans compter l'amortissement de l'investissement initial. « Il y a toutefois encore beaucoup de travail pour être rentable « en coûts complets » et arriver à la moyenne du groupe », reconnaît Gilles Normand, patron du véhicule électrique.
Les constructeurs s'inquiètent pour leurs marges
Carlos Ghosn vise un taux de 5 % de ses ventes dans l'électrique en 2022, un chiffre « sans doute conservateur - et certainement faux », a-t-il insisté. Cela représente 250.000 véhicules par an, à comparer aux 26.500 vendus l'an dernier et aux 40.000 prévus pour 2017. « A compter de 50.000 unités, on commence à pouvoir compter sur des économies d'échelle », relève Gilles Normand. Renault aura en 2022 huit véhicules électriques-contre quatre aujourd'hui (Zoe, Twingy, Fluence ZE et Kangoo).
Plateforme commune
Renault pourra aussi s'appuyer sur la plateforme commune qu'il développe avec Nissan « depuis au moins un an et demi », indique Gilles Normand. Alors que les deux partenaires de l'Alliance sont partis en ordre dispersé sur la Zoe et la Leaf, ils ont l'intention de ne pas réitérer l'erreur pour la future génération, à l'horizon 2020. 80 % des futurs véhicules électriques de l'Alliance (qui comprend aussi Mitsubishi depuis fin 2016) seront ainsi produits sur cette plateforme commune, qui pourra varier en longueur, en largeur et en hauteur, de sorte à s'adapter à tous les segments. Ils ont aussi annoncé cet été le développement commun d'une petite citadine en Chine , avec leur partenaire Dongfeng, dès 2019, sur laquelle ils comptent beaucoup compte tenu des volumes attendus sur le marché chinois. « Cette mutualisation permettra de gagner 40 % sur le ticket d'entrée en R & D et 30 % sur le coût de production », poursuit Gilles Normand.
Sur les batteries au départ on n'avait pas le choix. Mais aujourd'hui il y a beaucoup d'acteurs, il est donc possible de faire jouer la concurrence
Les trois partenaires utiliseront également à l'avenir des moteurs et des batteries communes. La décision de Nissan, cet été, de céder son activité historique de production de batteries correspond à un choix stratégique fort. « Nous sommes très pragmatiques sur la question du « make or buy » », explique Gilles Normand. « Sur les batteries, au départ on n'avait pas le choix. Mais aujourd'hui il y a beaucoup d'acteurs, il est donc possible de faire jouer la concurrence : on estime pouvoir faire baisser le coût des cellules de 30 % d'ici à 2022 ». Et ce, tout en augmentant l'autonomie des batteries à 600 kilomètres affichés (400-450 réels).
Nouveau moteur électrique
Renault compte toutefois garder la main sur l'assemblage des cellules et le « battery management system », l'électronique qui contrôle la charge et la décharge d'une batterie. « Nous espérons contrôler 30 % de la valeur de la batterie, contre 20 % aujourd'hui », dit Gilles Normand. Un élément important, alors que la batterie représente entre 20 et 30 % du coût des véhicules électriques. De même le groupe va développer un nouveau moteur électrique, qui devra lui permettre de gagner 20 % sur les coûts correspondants.
De quoi rendre les véhicules de plus en plus attractifs pour les consommateurs. Si aujourd'hui ils ont encore largement besoin de subventions pour rivaliser avec les moteurs thermiques en termes de prix, Renault espère que les courbes se croiseront aux alentours de 2020.
Anne Feitz
https://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/030694049143-le-plan-de-renault-pour-doper-sa-rentabilite-dans-lelectrique-2122876.php
Mario- Messages : 3389
Date d'inscription : 28/09/2012
Re: Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
Intéressant, merci !
Pour ne pas se faire doubler ils ont intérêt à faire un peu de baisse de prix plutôt que trop de prise de bénéfice ... et ils ne s’en sortiront pas en montant en gamme face à la concurrence qui arrive, ce n’est pas dans l’ADN de Renault.
Pour ne pas se faire doubler ils ont intérêt à faire un peu de baisse de prix plutôt que trop de prise de bénéfice ... et ils ne s’en sortiront pas en montant en gamme face à la concurrence qui arrive, ce n’est pas dans l’ADN de Renault.
Bigfoot- Messages : 16670
Date d'inscription : 01/05/2014
Age : 50
Localisation : Montpellier
Re: Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
Pour l'instant a priori les bénéfices ne sont pas encore là, et il faudra quand même bien que ça vienne si on veut pouvoir investir dans le VE, une entreprise ne peut pas continuellement investir dans quelque chose qui fait perdre de l'argent.
Je pense, contrairement à toi qu'il faut Renault monte en gamme, sans pour autant bien évidement vouloir aller chercher Mercedes ou BMW sur leur terrain et oublier les petits véhicules à petits prix. Mais au moins ce hisser au niveau de Nissan ou Hyundai.
De toutes façons si on comprend bien l'article il y en aura pour tout le monde. Ca ira du low cost, Kwid, jusqu’au haut de gamme niveau Talisman / Espace, en passant par Zoé, Megane, Scenic.
J'ai juste hâte de voir du concret, et j’espère que le Twizy ne passera pas la trappe.
Je pense, contrairement à toi qu'il faut Renault monte en gamme, sans pour autant bien évidement vouloir aller chercher Mercedes ou BMW sur leur terrain et oublier les petits véhicules à petits prix. Mais au moins ce hisser au niveau de Nissan ou Hyundai.
De toutes façons si on comprend bien l'article il y en aura pour tout le monde. Ca ira du low cost, Kwid, jusqu’au haut de gamme niveau Talisman / Espace, en passant par Zoé, Megane, Scenic.
J'ai juste hâte de voir du concret, et j’espère que le Twizy ne passera pas la trappe.
Mario- Messages : 3389
Date d'inscription : 28/09/2012
Re: Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
Vouloir c’est une chose...
savoir, pouvoir et arriver à séduire une clientèle plus « premium » en est une autre, comme chez Peugeot, ils n’en ont pas vraiment fait la preuve.
savoir, pouvoir et arriver à séduire une clientèle plus « premium » en est une autre, comme chez Peugeot, ils n’en ont pas vraiment fait la preuve.
Bigfoot- Messages : 16670
Date d'inscription : 01/05/2014
Age : 50
Localisation : Montpellier
Re: Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
Disons que l'électrique peut redistribuer les cartes... les français n'avaient plus (n'ont jamais eu) de moteur qui fasse rêver avec plus de 4 cylindres, ce qui est rédhibitoire pour l'image.
Là on repart d'une feuille blanche et la création d'un moteur électrique puissant ne coute pas beaucoup plus cher qu'un petit moteur. La différence se fera sur l’efficience énergétique : Moins de batterie pour faire la même distance que le voisin... c'est là que se fera les marges.
Là on repart d'une feuille blanche et la création d'un moteur électrique puissant ne coute pas beaucoup plus cher qu'un petit moteur. La différence se fera sur l’efficience énergétique : Moins de batterie pour faire la même distance que le voisin... c'est là que se fera les marges.
Zal'M- Messages : 2813
Date d'inscription : 14/03/2014
Localisation : Sarthe
alainrvt- Messages : 6719
Date d'inscription : 20/01/2014
Localisation : Wasselonne - Bas-Rhin
Re: Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
+i (un nombre imaginaire pour encourager l'imagination) : la sobriété sera la performance: moins de temps de recharge nécessaire, vitesse plus élevée possible entre deux bornes = égal temps de parcours plus faible avec moins d'aléas.
Mais risque que tout le monde vienne rapidement s'entasser contre la limite physique et qu'il n'y ait plus moyen de se différencier.
Mais risque que tout le monde vienne rapidement s'entasser contre la limite physique et qu'il n'y ait plus moyen de se différencier.
Passant_Mbr- Messages : 5514
Date d'inscription : 18/06/2012
Re: Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
Bigfoot a écrit:Vouloir c’est une chose...
savoir, pouvoir et arriver à séduire une clientèle plus « premium » en est une autre, comme chez Peugeot, ils n’en ont pas vraiment fait la preuve.
Je ne dis pas séduire une clientèle plus "premium" mais juste de se hisser avec l’électrique au niveau de ce qu'ils font avec le thermique. Hisser la Zoé au niveau de qualité de fabrication et de finition de la Clio ou mieux de la Micra produite sur la même chaîne, ce n'est pas une question de savoir faire puisqu'ils le font pour les thermique, ou de conquérir une clientèle plus haut de gamme puisque ce c'est leur clientèle de base. Et élargir leur gamme vers le haut, Megane, Scenic, Talisman...
Mario- Messages : 3389
Date d'inscription : 28/09/2012
Re: Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
Ok, ça fait longtemps que je suis pas rentré dans une Renault plus haut de gamme ... tant mieux si c’est mieux qu’avant !
Bigfoot- Messages : 16670
Date d'inscription : 01/05/2014
Age : 50
Localisation : Montpellier
Re: Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
Moi j'y suis monté quand j'ai cherché une Zoé en LLD et la différence de finition entre la zoé et les autres modèles Renault est criante.
Rentre dans une Clio ou une Micra et rentre ensuite dans une Zoé de même niveau de gamme produite sur la même chaîne. tu vas vite voir qu'il a une grosse différence, et que la Zoé a été faite à l’économie, qu'il a fallu gratter un peu partout pour obtenir un tarif acceptable, ce qu'on peut comprendre, je dirais que même ma Clio 2 était mieux finie.
C'est la même chose en moins flagrant pour la leaf 1, on sent qu'il a des économies un peu partout sur la finition par rapport aux autres Nissan. La leaf 2 semble avoir corrigé le tir et être au niveau des autres Nissan voirpeut être un poil mieux, je pense que Renault pourra faire de même avec la Zoé 2.
Rentre aussi dans une Megane haut de gamme, une GT, ou la série limité Akaju par exemple, et ensuite dans une Mercedes classe A, ou une A3, faut vraiment chercher la petite bête pour trouver leur qualité de finition meilleur. Il n'y a pas de raisons que les électrique soit globalement moins bien finies.
Rentre dans une Clio ou une Micra et rentre ensuite dans une Zoé de même niveau de gamme produite sur la même chaîne. tu vas vite voir qu'il a une grosse différence, et que la Zoé a été faite à l’économie, qu'il a fallu gratter un peu partout pour obtenir un tarif acceptable, ce qu'on peut comprendre, je dirais que même ma Clio 2 était mieux finie.
C'est la même chose en moins flagrant pour la leaf 1, on sent qu'il a des économies un peu partout sur la finition par rapport aux autres Nissan. La leaf 2 semble avoir corrigé le tir et être au niveau des autres Nissan voirpeut être un poil mieux, je pense que Renault pourra faire de même avec la Zoé 2.
Rentre aussi dans une Megane haut de gamme, une GT, ou la série limité Akaju par exemple, et ensuite dans une Mercedes classe A, ou une A3, faut vraiment chercher la petite bête pour trouver leur qualité de finition meilleur. Il n'y a pas de raisons que les électrique soit globalement moins bien finies.
Mario- Messages : 3389
Date d'inscription : 28/09/2012
Re: Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
Tu as raison Mario, quand tu vois la finition cuir de la "one", tu reviens dans les années 50
alainrvt- Messages : 6719
Date d'inscription : 20/01/2014
Localisation : Wasselonne - Bas-Rhin
Re: Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
Mario a écrit:Moi j'y suis monté quand j'ai cherché une Zoé en LLD et la différence de finition entre la zoé et les autres modèles Renault est criante.
Faut remettre dans le contexte la clio 4 et mégane 4 sont plus récentes.
De la à dire qu'une clio 2 est mieux finie, j'ai une phase 2 à la maison, je préfère largement la zoé... surtout en finition zen, où l'intérieur blanc est très lumineux.
A noter: je n'avais pas pris le finition Life de la zoé, car je ne supportais pas (visuellement et tactilement) le volant en plastique.
Zal'M- Messages : 2813
Date d'inscription : 14/03/2014
Localisation : Sarthe
Re: Le plan de Renault pour doper sa rentabilité dans l'électrique
Mario a écrit:Moi j'y suis monté quand j'ai cherché une Zoé en LLD et la différence de finition entre la zoé et les autres modèles Renault est criante.
Rentre dans une Clio ou une Micra et rentre ensuite dans une Zoé de même niveau de gamme produite sur la même chaîne. tu vas vite voir qu'il a une grosse différence, et que la Zoé a été faite à l’économie, qu'il a fallu gratter un peu partout pour obtenir un tarif acceptable, ce qu'on peut comprendre, je dirais que même ma Clio 2 était mieux finie.
C'est la même chose en moins flagrant pour la leaf 1, on sent qu'il a des économies un peu partout sur la finition par rapport aux autres Nissan. La leaf 2 semble avoir corrigé le tir et être au niveau des autres Nissan voirpeut être un poil mieux, je pense que Renault pourra faire de même avec la Zoé 2.
Rentre aussi dans une Megane haut de gamme, une GT, ou la série limité Akaju par exemple, et ensuite dans une Mercedes classe A, ou une A3, faut vraiment chercher la petite bête pour trouver leur qualité de finition meilleur. Il n'y a pas de raisons que les électrique soit globalement moins bien finies.
il y a aussi une notion de poids... le poids!
au début de la Zoé, petite batterie et beaux plastiques (bien lourds) posaient problème pour l'autonomie et le prix de vente.
Les journalistes ont fait la même remarque à propos de l'Ampera E, MAIS soulignent que si les plastiques sont durs et fins, ils n'en sont pas moins bien assemblés.
Et c'est ce point que je n'aime pas sur la Zoé, c'est les ajustements désinvoltes (portières, joints de porte) et les bruits de mobilier (depuis le début, l'intérieur de ma portière grince ( au niveau de la gâche ou dans le montant qui comprend la ceinture de sécurité). Je tolère (et j'ai accepté puis je l'ai achetée) l'aspect des plastiques de la voiture, mais pas les écarts d'ajustement et de montage, inadmissibles.
cinquecento- Messages : 1509
Date d'inscription : 14/08/2013
Localisation : Bordeaux city
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